Ebola
Mise à jour: juillet 2015
Dès le mois de septembre 2014 Objectif Transition posait la question de la gestion de la crise Ebola par l’OMS, un rapport publié le 11 mai confirme l’essentiel des points soulevés par Ludovic Brouxel. Objectif Transition se félicite d’avoir été en pointe sur ce dossier.
Ebola: l’OMS a réagi trop tardivement
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a réagi trop tardivement à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, a affirmé lundi 11 mai un groupe d’experts indépendant. Selon son rapport, l’agence de l’ONU souffre de graves faiblesses structurelles dans sa riposte aux urgences sanitaires.
A la demande des Etats membres de l’OMS, un groupe d’experts a examiné ce qui n’a pas marché dans la réponse à l’Ebola qui a contaminé 26’000 personnes et fait plus de 10’900 morts en Guinée, au Libéria et au Sierra Leone.
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Epidémie Ebola: face au scandale de l’OMS, la France silencieuse
Comme pressenti par Objectif Transition, la gestion de l’épidémie Ebola par l’OMS relève d’un amateurisme dangereux.
crédit photo: Naid
Epidémie Ebola : OMS, responsable mais pas coupable ?
Dès le 31 mars, Médecins Sans Frontières alerte « nous faisons face à une épidémie d’ampleur encore jamais rencontrée en terme de répartitions géographiques… » , il a fallu attendre le 8 août pour que l’OMS déclare que les conditions d’une « urgence de santé publique de portée mondiale » étaient réunies.
Ebola, fatalité, négligence, limite d’un système ? (part 2)
crédit photo: Steve Evans
Dans le précédent papier nous soulevions certaines questions et notamment celle-ci :
Pourquoi cette lenteur d’action envers un terroriste biologique alors que la communauté internationale est capable de mobiliser une armée dans un délai très bref contre un terroriste politique ou religieux?
Nous allons tenter de comprendre le fonctionnement de l’OMS et de nous interroger sur une possible limite (défaillance?) d’un système.
Ebola, fatalité, négligence, limite d’un système ? (part 1)
crédit photo: Luigi Baldelli
Alors que MSF dénonce une « coalition mondiale de l’inaction » aucune analyse ni critique n’a encore été effectuée quant à la gestion par l’OMS de la crise humanitaire qui se déroule à six heures de vol de chez nous. Et pourtant, elle se donne le rôle de chef de file dans la lutte contre les flambées épidémiques et la sécurité sanitaire mondiale.
Tous -journalistes, experts, médias- déplorent le nombre de morts et cette fatalité qu’est Ebola.